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  • SENEGAL-CONSOMMATION / Louga : l’approvisionnement du marché en poissons jugé « critique »

    SENEGAL-CONSOMMATION / Louga : l’approvisionnement du marché en poissons jugé « critique »

    Louga, 18 juil (APS) – L’approvisionnement du marché au poisson de Louga est devenu ‘’critique’’ en raison de la cherté des prix et de la rareté de ce produit halieutique, a déclaré mardi le coordonnateur dudit marché, Bassirou Sow.

    « La situation est critique par rapport à l’approvisionnement du marché en poissons, parce que les prix sont chers et le poisson dévient de plus en plus rare à cause de l’hivernage », a-t-il confié à l’APS.

    Il a souligné que « les poissons que l’on trouve le plus souvent dans le marché sont le « kong », la « bande » et le ‘’pouné », la sardinelle étant ‘’presque devenue invisible ».

    « Le carton +de pouné+ est vendu à 19000 FCFA, et on vend l’unité à 600 et 700 FCFA, tandis que la caisse de la sardinelle est vendue à 150.000 FCFA », a-t-il fait savoir.

    Selon lui, les poissons congelés achetés en gros et revendus sur le marché local, ‘’viennent de la Mauritanie ».

    « C’est pourquoi le prix est très cher, car nous les achetons en gros à un prix élevé, ce qui n’arrange pas les revendeurs que nous sommes, de même que nos clients », a-t-il expliqué.

    Par ailleurs, il a insisté sur la nécessité d’améliorer la propreté du marché au poisson de Louga et son éclairage pour renforcer davantage la sécurité des lieux.

    Fatou Fall, une cliente venue au marché pour acheter du poisson, déclare qu’il est devenu  »très difficile de se procurer [ce produit] ces temps-ci, parce que les prix sont très chers ». « Aujourd’hui, le prix des poissons que tu pouvais acheter avec 1000 FCFA est passé à 3000 FCFA, car le poisson également devient de plus en plus rare », a-t-elle souligné.

    Certes, « il arrive parfois qu’on ait du poisson frais, mais le prix est très cher (…)’’, a-t-elle confié.  Elle déclare qu’après s’être enquise du prix de la sardinelle, communément appelée ‘’yaboy’’ au Sénégal, elle s’est vu répondre qu’elle coûtait désormais 400 FCFA.

    Dans ces conditions, dit-elle, il faut presque 5000 FCFA pour acheter du poisson, surtout pour les grandes familles. Et l’addition est d’autant plus salée selon elle qu’il faut aussi acheter des légumes, du riz et de l’huile.

    « En réalité, tout est presque devenu très cher, car même le kilogramme d’oignon et de pomme de terre coûte actuellement 800 FCFA », déplore-t-elle.

    DS/MD/ASG

  • SENEGAL-INFRASTRUCTURES / Ligne ferroviaire Dakar-Tamba : la fin des travaux prévue avant fin 2023 (DG SN-CFS)

    SENEGAL-INFRASTRUCTURES / Ligne ferroviaire Dakar-Tamba : la fin des travaux prévue avant fin 2023 (DG SN-CFS)

    Diourbel, 18 juil (APS) – Les travaux de réhabilitation du chemin de fer Dakar-Tambacounda seront achevés avant la fin de cette année, a déclaré, mardi, à Diourbel, le directeur général de la Société nationale des chemins de fer du Sénégal (SN-CFS), Malick Ndoye.

    « Si tout se passe bien, compte tenu de l’état d’avancement actuel des travaux, on devrait terminer à la fin de l’année 2023’’, a-t-il dit lors d’un comité régional de développement (CRD) consacré à la présentation des travaux de réhabilitation, qui ont démarré depuis le 10 février dernier.

    Il a précisé qu’il s’est agi, lors de la rencontre, de ‘’faire un état des lieux sur l’avancement des travaux, mais aussi de parler de quelques contraintes que nous rencontrons au niveau des emprises ferroviaires’’.

    L’objectif était de voir les zones qui sont les plus confrontées à ce genre de contraintes et de ‘’mettre un plan d’action, pour que, très rapidement, on puisse procéder de manière intelligente à la libération de ces emprises.’’

    Selon lui, l’exploitation du chemin de fer nécessite pour des raisons notamment de sécurité, une emprise de 15 m de chaque côté des rails, ainsi qu’une visibilité de 25 m de part et d’autre sur les passages à niveau, pour le conducteur.

    Il a assuré que sur 65 km de lignes ferroviaires dans la région de Diourbel, les travaux se déroulent convenablement.

    ‘’Nous avons juste quelques contraintes liées à la libération des emprises. Mais, ce sont juste des installations précaires recensées à Ndangalma, Bambèy Sérère et sur l’axe entre Mbacké et Touba, lesquelles seront bientôt déguerpies’’, a-t-il rassuré.

    Il a annoncé que ‘’si le visa technique est délivré par l’ingénierie, le train sera mis en service exceptionnellement à l’occasion du prochain Grand Magal de Touba, afin de permettre aux nombreux pèlerins qui veulent rallier la ville de Touba, d’avoir la possibilité de voyager dans des conditions optimales et en toute sécurité’’.

    MK/ASG/MD

  • SENEGAL-SOCIETE / Instances de décision :  les capacités de femmes de la région de Matam renforcées

    SENEGAL-SOCIETE / Instances de décision : les capacités de femmes de la région de Matam renforcées

    Matam, 19 juil (APS) – Des femmes venues des départements de la région de Matam (nord-est) ont bénéficié lundi et mardi d’une session de renforcement de capacités dans le but de « pouvoir bien remplir les missions qui leur sont assignées » dans les instances de décision.

    « Depuis le vote de la loi sur la parité, nous avons noté une bonne représentation des femmes qui commencent à être présentes dans les organes de décision. C’est pour cela que nous avons jugé nécessaire de les outiller, pour qu’elles puissent bien remplir les missions qui leur sont assignées », a déclaré Seynabou Diouf, responsable à l’Association des femmes juristes du Sénégal (AJS).

    Chargée du projet « Politisons les femmes et les jeunes » mis en oeuvre par l’AJS, Seynabou Diouf intervenait lors d’un forum de sensibilisation organisé à Matam. Cette rencontre est initiée par le projet à l’intention de femmes venues des départements de Kanel, Matam et Ranérou.

    Elle a réuni plusieurs autres acteurs, sous la présidence de l’adjointe au préfet de Matam, Ndèye Diombana Cissé.

    Seynabou Diouf a signalé que des activités de renforcement de capacité, des campagnes de communication et des bulletins d’information sont prévues pour permettre à ces femmes de « faire la capitalisation et le suivi-évaluation de ce projet ».

    « La parité, 12 ans après’’ est l’une des trois thématiques développées au cours du forum.

    « Politisons les femmes et les jeunes » est un projet mis en oeuvre depuis 2022 par l’Association des femmes juristes du Sénégal, en partenariat avec l’ambassade des Pays-Bas à Dakar.

    Selon les initiateurs, trois régions, dont celle de Matam, sont concernées « pour le moment » par le projet.

    AT/MTN/ASG/OID

  • SENEGAL-SPORT-FOOTBALL / Matam : début des 1/4 de finale du championnat régional, mercredi

    SENEGAL-SPORT-FOOTBALL / Matam : début des 1/4 de finale du championnat régional, mercredi

    Matam, 18 juil (APS) – Les quarts de finale du championnat régional de football de Matam sont prévus mercredi et jeudi au stade régional, a appris l’APS de la Ligue de football de Matam.

    Le leader de la poule A, Diam Weli de Nguidjilone, va jouer en première heure contre l’Union sportive de Boyinadji (USB) classée 2ème de la poule B mercredi. La seconde rencontre opposera Hayoo des Angams qui a remporté tous ses matchs à Kawaral Mango de Ourossogui.

    Kawral Soubalo va jouer contre Lewlewal de Gourel Serigne, une équipe de la ville de Matam, jeudi. Légal Hakkundé, la seule équipe du département de Kanel, va en découdre avec Carrefour de Ourossogui, le même jour.

    Les demi-finales sont programmées dimanche 23 juillet.

    Le champion en titre, Espoir de Thilogne, a été éliminé dès le premier tour.

    AT/OID

  • SENEGAL-AGRICULTURE / Arachide : la mise en place et la cession des semences en passe de s’achever à Kaffrine (DRDR)

    SENEGAL-AGRICULTURE / Arachide : la mise en place et la cession des semences en passe de s’achever à Kaffrine (DRDR)

    Kaffrine, 18 juil (APS) – La mise en place et la cession du quota de semences d’arachide réservé à la région de Kaffrine, dans le centre du pays, sont en passe de s’achever, a assuré le Directeur régional du développement rural (DRDR), Mamadou Badiane.

    ‘’La mise en place des semences se poursuit normalement dans la région. Pour ce qui est de l’arachide, 13 929 tonnes de semences ont été réceptionnées par les commissions locales et départementales, sur un quota régional prévisionnel    de 14 .149, correspondant à un taux de mise en place de 98%’’, a-t-il déclaré lors d’un entretien avec l’APS.

    S’agissant donc de l’arachide, la mise en place des semences et leur cession sont presque terminées dans la mesure où sur les 13.929 tonnes proposées aux producteurs, 13.910 ont été déjà cédées, soit un taux de cession de 99 %, a indiqué le DRDR de Kaffrine.

    En ce qui concerne le maïs, 108 des 1050 tonnes réservées à la région ont été déjà vendues aux producteurs, a fait savoir M. Badiane en signalant que pour le sorgho, 79 des 325 tonnes représentant le quota de la région ont été déjà mises en place.

    Il a dans le même temps fait remarquer que 859, 45 tonnes de semences d’arachide avaient déjà été cédées aux producteurs sur les 2030 tonnes déjà reçues dans la région, le quota prévisionnel étant de 6680 tonnes.

    Pour l’urée, 1668 tonnes figurant dans le quota prévisionnel estimé 2360 tonnes ont été mises en place dans les quatre départements de la région, Kougheul, Kaffrine, Birkelane et Malem Hodar, a dit le directeur du développement rural.

    Selon lui, la DRDR de Kaffrine, a reçu un premier lot de 15 tracteurs et d’autres équipements dans le cadre de la mise en œuvre du Programme d’acquisition de matériels agricoles, de construction de magasins de stockage et d’entrepôts de conservation de produits.

     CTS/AKS

  • SENEGAL-COLLECTIVITES / PACASEN : Matam a « respecté les critères » du Pacasen (chargé de communication)

    SENEGAL-COLLECTIVITES / PACASEN : Matam a « respecté les critères » du Pacasen (chargé de communication)

    Matam, 17 juil (APS) – Le chargé de communication de l’Agence de développement municipal (ADM), El Hadji Alassane Diallo, a déclaré lundi que la commune de Matam a ‘’respecté les critères établis’’ par le Programme d’appui aux communes et agglomérations du Sénégal (Pacasen), lesquels ‘’reposent’’ selon lui sur des performances.

    ‘’C’est heureux de constater que la commune de Matam, durant les quatre années, a eu à respecter les critères et a eu des ressources et certainement les a mises dans des secteurs clés qui ont des impacts réels sur les populations’’, a-t-il dit.

    M. Diallo intervenait à Matam où il séjourne dans le cadre d’une tournée d’information et de communication du PACASEN initiée par l’ADM.

    Il a signalé que la commune de Matam a réalisé des projets dans les domaines marchand et sanitaire, dans le cadre lesquels elle a construit des infrastructures tels que le marché de Matam et le poste de santé de Nawel, ‘’qui font le bonheur des populations’’.

     ‘’L’objectif de notre visite est de voir l’impact des investissements financés par ce programme qui est exécuté depuis quatre ans dans 124 communes pilotes du Sénégal, dont Matam. Avant la fin de ce programme, en juin prochain, c’est le lieu de constater de visu l’impact que les investissements ont eu sur le vécu des populations’’, a-t-il souligné.

    Malick Bâ, secrétaire municipal à la commune de Matam Malick Bâ, a passé en revue les projets réalisés par la municipalité dans les domaines de l’économie, de la santé et de l’assainissement.

    ‘’Tous ces projets ont été réalisés grâce aux fonds alloués par le PACASEN s’élevant à plus de 400 millions de francs CFA. C’est un programme inclusif qui permet aux communes d’être autonomes afin de gérer correctement leurs ressources, à travers des critères, des résultats et des indicateurs de performances’’, a soutenu M. Bâ.

    Les deux parties ont effectué une visite de terrain au marché central de Matam où le PACSEN a construit des cantines et le poste de santé de Nawel, qui est toujours en chantier.

    ‘’Le populations se félicitent de ces deux infrastructures, notamment du poste de santé qui va permettre aux habitants de Nawel, un quartier excentré de la ville, de ne plus faire le déplacement jusqu’à Matam pour se soigner’’, a relevé le secrétaire municipal.

    AT/ASG

  • SENEGAL-SANTE / Kolda : un don de matériel médical pour le service ORL de l’hôpital régional

    SENEGAL-SANTE / Kolda : un don de matériel médical pour le service ORL de l’hôpital régional

    Kolda, 17 juil – Le service ORL de l’hôpital régional de Kolda (sud) a reçu de l’Association sénégalaise pour la promotion de l’ORL (Sénapor) un don de matériel d’endoscopie destiné à soulager les victimes d’accidents liés aux corps étrangers

    ‘’Nous sommes venus à Kolda pour remettre cet important matériel médical à l’hôpital régional. Ce matériel va contribuer à soulager des familles face aux pathologies fréquentes et graves qui peuvent atteindre les enfants et même des adultes’’, a expliqué El Hadj Malick Diop, secrétaire général de la Sénapor.

    Le chef du service ORL de l’hôpital régional de Kolda, le docteur Léman Aldo, souligne que ce don va notamment faciliter la prise en charge rapide des victimes d’accidents de corps étrangers dans l’organisme.

    ‘’Nous sommes très satisfaits et mesurons la portée de ce don de matériel mis à la disposition du service ORL. Nos patients étaient souvent évacués vers Ziguinchor ou Dakar, car notre service n’avait pas de matériel d’endoscopie pour pouvoir trouver des corps étrangers et faire le diagnostic. Et avec ce matériel, ce problème reste derrière nous. Nous en ferons bon usage’’, a dit le médecin.

    MG/ASG/ESF

  • SENEGAL-ENERGIE / Bambey : des habitants de Gouye Gab réclament l’électrification de leur village

    SENEGAL-ENERGIE / Bambey : des habitants de Gouye Gab réclament l’électrification de leur village

     Bambey, 17 juil (APS) – Des populations de Gouye Gab, un village de la commune de Ngoye, dans le département de Bambey (centre), ont organisé une marche pacifique lundi pour réclamer l’électrification de leur village, a constaté l’APS.

    Rattaché administrativement à la commune de Ngoye, le village de Gouye Gab est situé sur la route nationale numéro 3, à proximité de la commune de Bambey.

    A cause de sa position particulière, ce village est devenu ‘’l’orphelin du département de Bambey, car il ne peut bénéficier des avantages de la commune de Bambey, ni de ceux de Ngoye », a déploré le porte-parole des maifestants, Mathieu Diouf.

    Selon lui, le manque d’électricité est le problème le plus crucial du village. « Nous vivons dans l’obscurité totale, et des cas d’agression et de vol sont constamment enregistrés », a-t-il dit.

    M. Diouf signale que Gouye Gab est dépourvu aussi d’une source d’eau potable « digne de ce nom ».

    Mathieu Diouf invite les autorités locales à inscrire en priorité leur localité sur la liste des villages bénéficiaires du projet national d’électrification rurale.

    MS/MK/MTN/ASG/ESF 

  • SENEGAL-INFRASTRUCTURES / Kaolack : plus de 4,150 milliards de francs CFA pour la construction d’un centre de formation professionnelle et technique

    SENEGAL-INFRASTRUCTURES / Kaolack : plus de 4,150 milliards de francs CFA pour la construction d’un centre de formation professionnelle et technique

    Kaolack, 17 juil (APS) – L’Etat sénégalais a décidé de réserver 4 milliards 150 millions 46 mille 671 francs CFA à la construction d’un centre départemental de formation professionnelle et technique à Kaolack (centre), a appris l’APS de source officielle, lundi.

    L’annonce a été faite par le directeur des affaires générales et de l’équipement du ministère de la Formation professionnelle, de l’Apprentissage et de l’Insertion, Amadou Diallo.

    Cette réunion dirigée par El Hadji Malick Sémou Diouf, l’adjoint du gouverneur chargé des affaires administratives de la région de Kaolack, a permis à M. Diallo de rencontrer les acteurs territoriaux concernés par la mise en œuvre de ce projet.

    Le futur de centre de formation est dédié aux métiers du transport logistique, de l’agroalimentaire et des technologies de l’information et de la communication, selon Amadou Diallo.

    Ce projet est exécuté dans le cadre d’un partenariat public-privé, avec deux entreprises, dont le groupe Mitrelli, qui doit construire 23 centres en quatre phases, notamment à Tambacounda (est), Diourbel, Kaffrine (centre), Louga (nord) et Kaolack.

    ‘’On avait l’habitude d’avoir des centres orientés vers la couture et d’autres métiers connexes, mais dans sa politique de formation professionnelle et technique, l’Etat a décidé de changer de paradigme’’, a expliqué M. Diallo.

    Il s’agit maintenant d’‘’orienter la formation professionnelle et technique vers des modules de formation qui permettent aux bénéficiaires d’avoir une formation qualifiante et de pouvoir rester dans leurs terroirs respectifs, pour contribuer au développement local’’, a-t-il expliqué.

    Même si la formation à dispenser dans le futur centre sera orientée vers les métiers de l’agriculture et de l’élevage, l’établissement pourrait également développer de nouvelles filières en cas de besoin, en tenant compte de la spécificité de la zone, a-t-il précisé.

    Selon Jérôme Messalati, le directeur général de Focus Education, une filiale du groupe Mitrelli, le centre de Kaolack va former 30.000 diplômés par an, dans le cadre d’un projet de formation d’une durée de dix ans.

    ‘’Il y aura plusieurs diplômes de formation courte durée, des formations diplômantes, avec un certificat d’aptitude professionnelle, un brevet de technicien supérieur, etc. On est sur une large gamme de formations et de reconversions’’, a souligné M. Messalati.

    El Hadji Malick Sémou Diouf signale que que dans la mise en œuvre de ce projet, des contraintes ont été soulevées. Elles concernent, par exemple, le site devant abriter le centre.

    ‘’Un site a été identifié. Malheureusement, après les études environnementales menées, le bailleur a estimé que celui-ci n’était pas adéquat’’, a dit M. Diouf.

    Un autre site sera trouvé, a-t-il assuré.

    ‘’Dans certaines communes de la région, il y a d’importantes réalisations, notamment l’agropole centre, l’université du Sine-Saloum, etc. Ajouter ce centre au dispositif contribuerait à aider les populations, particulièrement les jeunes, à disposer de formations et, plus tard, d’un emploi décent, et d’avoir des revenus’’, a ajouté l’adjoint du gouverneur.

    ADE/ASG/ESF

  • SENEGAL-EDUCATION / Examen du baccalauréat : un taux de réussite de 45,32 % pour la région de Tambacounda

    SENEGAL-EDUCATION / Examen du baccalauréat : un taux de réussite de 45,32 % pour la région de Tambacounda

    Tambacounda, 17 juil (APS) – Mille huit cent dix-sept des 4.009 candidats ayant effectivement pris part à l’examen du baccalauréat de la région de Tambacounda (est) ont obtenu le premier diplôme universitaire, avec un taux de réussite de 45,32 %, a-t-on appris lundi de l’inspection d’académie.

    Au centre d’examen du lycée de Golmy, dans le département de Bakel, le taux d’admission est de 80,16 %, le meilleur de la région.

    Les trois meilleurs candidats dudit centre ont obtenu la mention Assez bien.

    Le centre d’examen de Kidira, dans le même département, est deuxième avec un taux de réussite de 69,57 %. Un de ses candidats a obtenu la mention Bien, et deux autres la mention Assez bien.

    Au centre d’examen du lycée de Waoundé Ndiaye, situé également dans le département de Bakel, le taux d’admission est de 67,57 %. Seize mentions Assez bien et une mention Bien ont été dénombrées dans ce centre d’examen, le troisième de la région.

    Le centre d’examen de l’école Moriba-Diakité, située dans la commune de Tambacounda, prend la quatrième place avec un taux de réussite de 57,55 %. Les trois meilleurs candidats ont obtenu la mention Assez bien.

    Au centre d’examen du collège d’enseignement moyen TSA, dans la commune de Tambacounda, qui occupe la cinquième place du classement régional, le taux de réussite est de 47,83 %. Ses trois meilleurs candidats ont obtenu la mention Assez bien.

    Les taux d’admission varient entre 44,02 % et 28,05 % pour la dizaine de centres d’examen restants de la même région, dont celui du lycée Mame-Cheikh-Mbaye, des lycées de Koumpentoum et de Koussanar.

    BT/ESF