Catégorie : REGIONS

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  • SENEGAL-PAIX-MEDIATION / Thiès : L’association  »Doomu Daara Yi » veut contribuer à la pacification de l’espace public

    SENEGAL-PAIX-MEDIATION / Thiès : L’association  »Doomu Daara Yi » veut contribuer à la pacification de l’espace public

    Thiès, 12 juin (APS) – L’association Doomu Daara Yi envisage d’entamer des démarches pour contribuer à la pacification du climat social, suite aux violentes manifestations des 1er et 2 juin, consécutives à la condamnation de l’opposant Ousmane Sonko, ont annoncé ses responsables lundi à Thiès.

    Doomu Daara Yi, une association nationale qui en est à sa troisième année d’existence, regroupe des personnes issues des ‘’daara’’, ces écoles coraniques appartenant au système d’éducation islamique traditionnel.

    Condamnant ces violences qui ont secoué le pays, connu pour sa stabilité et sa fraternité, l’association Doomu daara yi compte rendre visite aux chefs religieux musulmans et envoyer des lettres au Président de la République et aux leaders de l’opposition.

    Elle condamne ‘’tout type de violence, de rébellion et d’injustice dans (le) pays’’, et en appelle à la ‘’sérénité’’, invitant toutes les parties à ‘’s’asseoir autour d’une table pour échanger autour de l’essentiel’’, a dit Souleymane Thiam son secrétaire général.

    La quintessence du message qui sera adressé aux protagonistes est de leur demander de privilégier le dialogue, mais aussi, en tant qu’acteurs  d’un ‘’pays démocratique’’, de choisir une dévolution du pouvoir par le biais d’élections,  afin que celui qui en sortira, vainqueur préside aux destinées du pays, ont-t-ils laissé entendre.

    ‘’La paix s’obtient à travers des paroles et des actes’’, a relevé Oustaz  Mouhamed  Mboup, porte-parole de l’association. Ce groupement revendique plusieurs membres y compris à l’échelle internationale.

     »Le Sénégal a longtemps été considéré comme un pays de paix, de téranga et un pays stable. Et cela nous le devons à nos prédécesseurs (et) surtout à nos guides religieux’’, a dit Souleymane Thiam, selon qui, Doomu daara yi entend ‘’protéger vaille que vaille’’ ces notabilités religieuses, qui font l’objet d’ ‘’insultes’’ sur les réseaux sociaux.

    Selon lui, contrairement à ce que soutiennent leurs détracteurs qui leur reprochent de ne pas s’être prononcé à temps sur la situation du pays, ces derniers ‘’ont toujours parlé et continuent de parler’’, même si ce n’est ‘’pas sous le format souhaité’’ par certains.

    Les ‘’doomu daara’’ dénoncent leur non-implication dans le dialogue national ainsi que tous les cadres de recherche la paix dans le pays.

    Dénonçant cette conception de l’intellectuel qui se résume aux personnes ‘’qui savent manier la langue de Molière’’, il estime que ce terme se réfère plutôt à toute ‘’personne qui défend des idéaux, quelle que soit sa langue’’. Les  ‘’doomu daa’’ (produits des daara) en comptent et ils ‘’ont leur mot à dire’’ sur la situation du pays, a-t-il fait valoir.  »Nous sommes prêts à œuvrer à tout ce qui peut ramener la paix dans le pays’’, a t-il dit.

    ADI/OID

  • SENEGAL-HABITAT / Régulation des loyers : plus de 3600 plaintes de locataires reçues par la CONAREL en trois mois (secrétaire exécutif)

    SENEGAL-HABITAT / Régulation des loyers : plus de 3600 plaintes de locataires reçues par la CONAREL en trois mois (secrétaire exécutif)

    Louga, 12 juin (APS) – La commission nationale de régulation des loyers (CONAREL) a enregistré 3629 plaintes liées à l’application des nouveaux prix du loyer entre mars et mai, a indiqué lundi son secrétaire exécutif, Idrissa Baldé.

    « La CONAREL a enregistré 925 plaintes au mois de mars, contre 2.704 plaintes au mois de mai, dont neuf plaintes pour la région de Louga »,  a dit M. Baldé lors d’un entretien accordé à des journalistes, à l’issue d’une réunion du Comité régional de développement (CRD), d’information et d’échange, sur la régulation du loyer des bâtiments à usage d’habitation. Le CRD a été présidé par l’adjointe au gouverneur de la région de Louga, chargée des Affaires administratives, Diégui Ngom Fall.

     »Entre le 31 mars et le 31 mai dernier, il a été enregistré 1779 plaintes de locataires liées aux besoins des loyers », a signalé le secrétaire exécutif de la CONAREL, expliquant que « les plaintes sont l’expression d’une réaction d’opposition à l’application du nouveau texte, malgré leurs diverses formulations ».

    M. Baldé a rappelé que la CONAREL  a pour mission de veiller à l’application du dispositif de régulation des loyers des bâtiments à usage d’habitation, en luttant contre les hausses illicites et les pratiques spécifiques au niveau du marché locatif, en améliorant les dispositifs d’accompagnement d’accès au logement, entre autres.

    L’adjointe au gouverneur de la région de Louga, chargée des Affaires administratives, Diégui Ngom Fall, a expliqué que la hausse des prix des loyers et les pratiques illicites ont poussé l’Etat à utiliser son pouvoir régalien pour protéger le consommateur, mais également fixer des prix raisonnables du loyer pour un peu soulager les locataires.

    « La commission régionale de régulation des loyers de Louga a déjà été installée à Louga. Et c’est au niveau du service régional de commerce que les plaintes sont déposées en attendant que la commission se réunisse », a-t-elle  précisé, annonçant qu’il a été proposé, lors du CRD, de créer des commissions départementales.

    La commission nationale de régulation des loyers (CONAREL), qui a des démembrements régionaux, a été installée par le ministre du Commerce, de la Consommation et des Petites et Moyennes entreprises, Abdou Karim Fofana, en mai. Le décret instituant les nouveaux tarifs des loyers des bâtiments  à usage d’habitation  a été adopté début mars en Conseil des ministres.

    DS/AB/OID

  • SENEGAL-SANTE-INFRASTRUCTURES / Kaolack : l’hôpital régional travaille sur un projet d’établissement d’un coût d’environ 6 milliards (directrice)

    SENEGAL-SANTE-INFRASTRUCTURES / Kaolack : l’hôpital régional travaille sur un projet d’établissement d’un coût d’environ 6 milliards (directrice)

    Kaolack, 12 juin (APS) – La direction du Centre hospitalier régional El Hadj Ibrahima Niass (CHREIN) de Kaolack est en train de finaliser son projet d’établissement d’un coût estimé à environ six milliards de francs CFA pour la période 2023-2027, a appris l’APS.

     »Nous sommes en train de finaliser notre projet d’établissement 2023-2027 d’un coût total de presque six milliards de francs CFA et dont l’Etat est le principal bailleur à travers le ministère de la Santé et de l’Action sociale’’, a affirmé Khadidiatou Sarr Kébé, directrice du CHREIN.

    En plus de ce ‘’projet phare’’, il y a aussi un autre destiné à la construction d’un  »pôle tête et cou » qui est en train d’être finalisé grâce à l’appui de l’Etat du Sénégal qui a doté l’hôpital d’une subvention d’investissements ayant permis de construire cette infrastructure qui va regrouper trois services dont l’odontologie, l’ORL et la stomatologie’’, a-t-elle expliqué.

    Elle l’a dit lundi en recevant l’Association ‘’Sénégalou Niep’’ (Le Sénégal de tous, en wolof) qui a offert à l’hôpital régional un container de 40 pieds contenant plusieurs produits pharmaceutiques et du matériel médical, d’une valeur de 25 millions de francs CFA.

     »Nous pensons que cet hôpital, qui peut aller de l’avant, parce qu’il a une marge de manœuvre énorme, est de fait un établissement public de santé de niveau 3 (EPS 3), même si dans les textes il est de niveau 2’’, a fait valoir Khadidiatou Sarr Kébé.

    Elle estime que le CHREIN a des potentialités qui lui permettent de pouvoir progresser pour offrir aux populations des soins de qualité accessible. ‘’C’est le leitmotiv du président de la République Macky Sall qui nous exhorte à faire des hôpitaux des havres de paix et non des milieux de dispersion’’, a-t-elle indiqué.

     »Nous travaillons tous avec madame le ministre de la Santé et de l’Action sociale à améliorer cette offre de services pour qu’elle soit de qualité mais aussi accessible aux populations’’, a rappelé Mme Kébé.

    ADE/OID

  • SENEGAL-SANTE-DON / Kaolack : une association humanitaire offre un important lot de médicaments à l’hôpital régional

    SENEGAL-SANTE-DON / Kaolack : une association humanitaire offre un important lot de médicaments à l’hôpital régional

    Kaolack, 12 juin (APS) – L’Association ‘’Sénégalou Niep’’ (Le Sénégal de tous, en wolof) a offert, lundi, au Centre hospitalier régional El Hadji Ibrahima Niass (CHREIN) de Kaolack (centre), un container de 40 pieds contenant plusieurs produits pharmaceutiques, a constaté l’APS.

    Ce don d’une valeur de 25 millions de francs CFA, est composé de détergents, d’antiseptiques, des désinfectants et autres médicaments de premiers soins, a précisé Imam Aboubacry Niang, coordonnateur nationale de l’Association ‘’Sénégalou Niep’’ (Le Sénégal de tous, en wolof).

    Khadidiatou Sarr Kébé, directrice du CHREIN, a dit ressentir beaucoup de fierté avec ce geste de haute portée sociale et humanitaire qui montre la ‘’vraie face du Sénégalais’’. L’association, créée par un Sénégalais vivant aux Etats-Unis d’Amérique, regroupe des membres éparpillés à travers le monde et contribuent au développement de leur pays.

     »Les produits qui sont dans ce container sont des produits de haute gamme, coûtent très chers, on les trouve dans les plus grands hôpitaux du monde. Nous remercions cette association, parce que l’Etat supporte les hôpitaux, leur donne des subventions d’exploitation. Mais nous qui utilisons les services de nos hôpitaux devons aussi participer pour les mettre aux normes’’, a-t-elle plaidé.

    ADE/OID

  • SENEGAL- AGRICULTURE  / Les travaux du Dac du Niombato vont démarrer d’ici septembre (point focal)

    SENEGAL- AGRICULTURE / Les travaux du Dac du Niombato vont démarrer d’ici septembre (point focal)

    Fatick, 12 juin (APS) – Les travaux d’aménagement et de terrassement du domaine agricole communautaire (DAC) du Niombato, situé dans le département de Foundiougne, vont démarrer d’ici quatre mois, soit au mois de septembre, sur une assiette foncière de 500 hectares, a indiqué lundi, Cheikh Abdou Souley Kidiera, point focal du projet.

     »D’ un coût de 11 milliards de francs CFA, et mis en œuvre par  le Programme des domaines Agricoles Communautaires (PRODAC) le Dac du Niombato va générer 8.000 emplois. Les travaux vont démarrer d’ici quatre mois »,  a dit M. Kidiera, lors d’ une visite à Keur Saloum Diané, une des communes du Niombato, dont le conseil municipal a affecté 98 hectares à l’implantation du Dac.

    Il a ajouté que  »cette surface de 98 hectares vient en complément aux 402 hectares délibérés par la direction des Eaux et forêts de Foundiougne, pour la poursuite des travaux du Dac du Niombato », précisant que  sur ces 98 hectares, des infrastructures agricoles, des bâtiments, des magasins de stockage, des salles de formation et de fabrique d’aliments seront érigés au bénéfice des populations.

    Par contre, a-t-il poursuivi, les 402 hectares serviront à aménager des périmètres destinés à des activités de maraîchage, la pisciculture, ou encore  la production animale prévue à la finition des travaux du Dac. « Le Prodac, a-t-il expliqué, devrait obtenir 500 hectares pour réaliser l’ensemble des travaux d’aménagements et de terrassements du Dac. Maintenant que nous disposons des terres, le travail peut démarrer ».

    « Nous voulons à travers ce Dac servir d’incubateur aux jeunes et aux femmes qui ont besoin d’être formés et accompagnés dans différentes activités génératrices de revenues » a ajouté le point focal.

    Le gouvernement du Sénégal a reçu en 2017 un financement  de 47 milliards de francs CFA de la Banque Islamique de Développement (BID), dans le cadre du projet de développement de l’entrepreneuriat agricole, une initiative du Prodac.  L’objectif est de contribuer à promouvoir l’emploi rural, à travers le développement des moyens de production et le renforcement des compétences entrepreneuriales des jeunes des régions de Kaffrine, Fatick, Louga et Kolda.

    En dehors de la commune de Keur Saloum Diané,  l’implantation du Dac du Niombato, dans la région de Fatick, est prévue également, selon ses responsables, dans les  collectivités territoriales de Keur Samba Guèye, de Nioro Alassane Tall, de Toubacouta et celle de Karang.

    SDI/AB/OID

  • SENEGAL-FORMATION-INFRASTRUCURES / Un projet de 1,5 milliard pour augmenter la capacité d’accueil du Lycée technique de Thiès

    SENEGAL-FORMATION-INFRASTRUCURES / Un projet de 1,5 milliard pour augmenter la capacité d’accueil du Lycée technique de Thiès

    Thiès, 12 juin (APS) – Le Lycée technique et professionnel François Xavier Ndione envisage, dans le cadre de son projet stratégique de développement, de réhabiliter et d’élargir ses locaux pour passer de 2.000 à 3.000 élèves d’ici 2024, a indiqué lundi son proviseur Souleymane Touré.

     »Nous allons aujourd’hui- (…) vers l’extension du lycée. Nous avons déposé un projet stratégique de développement d’un coût de d’1,5 milliard. Ce qui nous permettra d’élargir davantage et d’aller vers 3000 étudiants chaque année’’, a dit à l’APS, Souleymane Touré.

    Il s’exprimait en marge du démarrage des épreuves du baccalauréat technique, après avoir reçu une délégation d’autorités administratives et académiques, venue s’enquérir du déroulement de l’examen.

    Le ‘’projet est validé’’ et attend son financement. ‘’Aujourd’hui, nous avons déjà un million d’euros de financement pour des équipements et nous attendons un à deux millions de financement pour ce qui concerne les bâtiments, la réhabilitation et même des constructions neuves’’, a-t-il renseigné.

    Ce projet sera financé par l’Etat du Sénégal en partenariat avec Luxdev.

    ‘’Pour les équipements, nous allons lancer les appels d’offres dans un ou deux mois. Pour ce qui concerne les bâtiments, ce sera certainement courant 2024’’, a dit Souleymane Touré.

     »Le lycée compte à peu près 2.000 étudiant pour cette présente année scolaire. Et au rythme où ça va, on peut se retrouver l’année prochaine avec 3.000 étudiants selon nos projections’’, a dit le responsable, évoquant des effectifs ‘’toujours en hausse’’, en raison de l’intérêt d’une grande partie de la population pour la formation professionnelle.

    L’établissement se fixe comme objectif d’ ‘’augmenter l’offre de formation de deux ou trois filières par année’’. ‘’C’est le minimum’’, estime Souleymane Touré, qui annonce pour le présent projet, l’ouverture d’un BTS en maintenance industrielle et d’un BTS en structure métallique.

    Les filières production végétale (PV) et conduite et gestion d’une exploitation agricole (CGA), ainsi que les BTS comptabilité et électromécanique ont été introduits depuis quatre ans dans les curricula du lycée technique de Thiès.

    Deux autres BTS sont envisagés, respectivement en énergie et en mécatronique.

    Les ‘’principaux défis’’ que le Lycée technique de Thiès doit relever sont ceux de l’élargissement et de l’ ‘’insertion à 100%’’. Le taux d’insertion déjà ‘’très élevé’’, avoisine les ‘’60 à 70%’’, a-t-il noté.

     »C’est important de pouvoir former le maximum de Sénégalais à des postes de formation industrielle, mais c’est aussi important de pouvoir les insérer’’, a fait valoir le proviseur, non sans  indiquer que leurs pensionnaires sont formés à ‘’affronter le monde du travail’’, aussi bien à travers l’insertion par l’emploi salarié que par l’auto-emploi.

    Les  filières de maintenance industrielle et génie civil sont les filières les plus prisées par les parents, a relevé le responsable, disant souvent expliquer à ces derniers que ‘’toutes les filières se valent en réalité’’, et que ce sont tous des métiers grâce auxquels les étudiants pourront monnayer leur talent ici ou à l’étranger.

     »Aujourd’hui que le Sénégal est un pays pétrolier, tous les métiers que nous enseignons seront utilisés dans les plateforme pétrolière’’. Il s’agit de métiers connexes comme froid climatisation, structure métallique, maintenance industrielle, électricité industrielle, qui seront ‘’forcément utilisés’’ dans les plateformes pétrolières, a-t-il dit.

    ADI/OID

  • SENEGAL-EDUCATION-EXAMEN / Kaolack : toutes les dispositions prises pour un bon déroulement du baccalauréat technique (proviseur)

    SENEGAL-EDUCATION-EXAMEN / Kaolack : toutes les dispositions prises pour un bon déroulement du baccalauréat technique (proviseur)

    Kaolack, 12 juin (APS) – Des dispositions nécessaires ont été prises pour un bon déroulement de l’examen du baccalauréat technique, qui a démarré ce lundi à Kaolack (centre), a assuré le proviseur du lycée technique et commercial El Hadji Abdoulaye Niass.

    ‘’Toutes les dispositions ont été prises pour un bon déroulement de cet examen au niveau du centre principal qui est le lycée technique et commercial El Hadji Abdoulaye Niass’’, a notamment déclaré son proviseur, Alassane Djigo, assurant que le matériel nécessaire a été bien réceptionné à temps et les salles bien nettoyées.

    Le lycée abrite le jury 917, constitué d’un centre principal et d’un centre secondaire, soit un effectif global de 966 candidats dont 168 filles.

    Les candidats du centre secondaire composent au lycée technique de Fatick. Il compte 41 élèves dont 17 garçons et 24 filles.

    Au lycée technique et commercial El Hadji Abdoulaye Niass, qui abrite le centre principal, il y a 225 candidats dont 81 garçons et 144 filles.

     »Toutes les copies vont être corrigées au niveau du centre principal (…) »’, a-t-il précisé.

    ADE/OID

  • SENEGAL-EXAMENS / A Thiès, le baccalauréat technique se déroule  »sans perturbations »

    SENEGAL-EXAMENS / A Thiès, le baccalauréat technique se déroule  »sans perturbations »

    Thiès, 12 juin (APS) – Le baccalauréat technique se déroule « normalement » au lycée technique et professionnel François Xavier Ndione de Thiès (ouest) où 166 candidats ont démarré lundi les épreuves, à l’instar de leurs camarades des autres régions du pays, a indiqué vendredi le proviseur de cet établissement.

    « Tout se déroule bien. Pour le moment, il n’y aucune perturbation. Les examinateurs sont là, le président de jury est là », a dit Souleymane Touré, saluant une « très bonne coordination » de l’inspection d’académie de Thiès, à travers son chargé des examens et concours.

    Au démarrage des épreuves à 7 heures 30, deux absents ont été enregistrés, l’un en série T1 et l’autre en T2, selon les responsables. Sur les 166 candidats inscrits, il y a  108 filles et 58 garçons.

    Un important dispositif sécuritaire a été déployé sur les lieux pour assurer la quiétude du centre d’examen, dont les épreuves sont « prévues pour durer une dizaine de jours, au maximum 12 (à) 13 jours ».

    Au niveau du lycée, tout est en place, pour un bon déroulement de l’examen, notamment pour la phase pratique de l’examen, a relevé le proviseur.

    « Actuellement, ça se passe très bien », a dit, dans le même sillage, Abdoulaye Dieng, président du jury 1723, après avoir reçu une délégation d’autorités administratives conduite par l’adjoint au préfet de Thiès, Diadji Guèye.

    Ce dernier a relevé qu’après le travail préparatoire et « le bon feed-back » recueilli sur le terrain, un « suivi permanent »  sera assuré pour un bon déroulement des examens jusqu’à la fin.

    Les séries T1 et T2 passent des épreuves en mathématiques et la série STEG, en économie, explique M. Dieng. Il invite les élèves à faire preuve de rigueur et  d’assiduité.

    Plus de 3.000 candidats ont démarré les épreuves du bac technique à l’échelle nationale.

    ADI/MTN/ASG/BK

     

  • SENEGAL-EDUCATION / Diourbel : le préfet magnifie le bon déroulement du baccalauréat technique

    SENEGAL-EDUCATION / Diourbel : le préfet magnifie le bon déroulement du baccalauréat technique

    Diourbel, 12 juin (APS) – Le préfet du département de Diourbel (centre), Mamadou Khouma, a salué, lundi, le bon déroulement de l’examen du baccalauréat de l’enseignement secondaire technique, session normale 2023, qui a démarré ce matin sur l’ensemble du territoire national.

     »Je félicite le président du jury, les surveillants et tout le corps professoral qui est là, car ils ont démarré les épreuves à l’heure convenue », a-t-il déclaré, à l’issue d’une visite au lycée technique Cheikh Ahmadou Bamba Mbacké.

    Pour la sécurisation du centre, l’autorité préfectorale a assuré, que compte tenu de la situation actuelle du pays, « des mesures idoines ont été prises pour que tout se passe bien d’ici à la fin des examens prévue samedi. »

     »Au total, sur les 254 candidats régulièrement inscrits dans le département, 249 ont composé ce matin, soit neuf absents constatés », a pour sa part indiqué le président de jury Omar Ngom Thiam.

    MK/ASG/MTN

  • SENEGAL-EXAMEN / Kédougou : le baccalauréat technique se tient  »sans difficulté majeure »  (chef de centre)

    SENEGAL-EXAMEN / Kédougou : le baccalauréat technique se tient  »sans difficulté majeure » (chef de centre)

    Kédougou 12 Juin (APS) – Les épreuves du baccalauréat technique ont démarré  »sans aucune difficulté majeure » dans la commune de Kédougou (est), a confié à l’APS le proviseur Moussa Doucouré, chef du centre du lycée technique, industriel et minier Mamba Guirassy.

     »Au jury 1428 du lycée technique industriel et minier Mamba Guirassi de Kédougou, qui a un effectif de 256 candidats, les épreuves du baccalauréat technique ont bien démarré sans aucune difficulté majeure », a dit à  l’APS le chef du centre d’examen, le proviseur Moussa Doucouré APS.

    Cet établissement qui abrite le jury 1428 est composé de quatre séries techniques, dont la série Sciences et technologies de l’économie et de la gestion (STEG), la série Sciences et technologies de l’industrie  et du développement durable (STIDD) et les séries T1 et T2.

    Selon le proviseur Moussa Doucouré, l’examen a démarré à 8h en présence des surveillants, des examinateurs et des agents de police chargés de sécuriser les lieux.  »Tout le matériel a été mis à disposition à temps », a assuré M. Doucouré.

    Les candidats vont plancher sur les épreuves du  baccalauréat technique de lundi à samedi, soit six jours d’examen.

    PID/MTN/ASG