Catégorie : Uncategorized

  • SENEGAL-SOCIAL / Podor : plus de 430 millions CFA pour 2 158 ménages agro-sylvo-pastoraux

    SENEGAL-SOCIAL / Podor : plus de 430 millions CFA pour 2 158 ménages agro-sylvo-pastoraux

    Podor, 8 août (APS) – Le ministre du Développement communautaire, de la Solidarité nationale, de l’Equité territoriale, Samba Ndiobène Ka, a procédé, mardi à Ndioum (département de Podor), au lancement du programme de résilience agricole, qui cible 2 158 ménages agro-sylvo-pastoraux et pêcheurs du département de Podor, lesquels recevront 431 millions 600 mille francs CFA, a constaté l’APS.

    Le programme cible « 2 158 ménages inscrits sur le Registre national unique (RNU), soit 2 1450 individus répartis dans les 22 communes du département », a précisé M. Ka, lors de la cérémonie de lancement, à la salle des fêtes de la mairie de Ndioum.

    Les ménages bénéficieront d’une enveloppe globale de 431 millions de francs CFA pour les aider à accéder aux matériels et intrants agricoles. 

    Il précise que l’objectif consiste à « renforcer la résilience des ménages défavorisés face aux impacts des changements climatiques ».

    Il a souligné que c’est pour cette raison que ce programme a été mis en place pour « répondre aux chocs climatiques, incendies, inondations », dans le but d’aider les ménages vulnérables à les supporter.

    Samba Ndiobène Ka promet que les ménages seront accompagnés par des séances de sensibilisation, de coaching collectif et de suivi agricole.

    Avant de quitter Ndioum, le ministre a assisté aux premiers transferts effectués par l’opérateur désigné à cet effet, au grand bonheur des bénéficiaires.

    La cérémonie a eu lieu en présence du préfet du département de Podor, Matar Diop, de la déléguée générale à la protection sociale et à la solidarité nationale, Aminata Sow, du directeur général du Fonds de solidarité nationale, Kalidou Ba, de l’adjointe au maire de Ndioum, Fatou Bâ, et des bénéficiaires.

    AHD/AMD/ASG/MTN

     

  • SENEGAL-FOOTBALL / Saint-Louis : la Linguére veut rejouer le match aller contre CNEPS

    SENEGAL-FOOTBALL / Saint-Louis : la Linguére veut rejouer le match aller contre CNEPS

    Saint-Louis, 3 août (APS) – La Linguère de Saint-Louis réclame les trois points du match aller contre le CNEPS de Thiès ou au moins la possibilité de rejouer cette rencontre sanctionnée par un nul, a déclaré son chargé des opérations, Abdoulaye Dièye.

    Il signale qu’au moment où cette rencontre était programmée à la douzième journée, le club thiessois traversait une crise interne. Deux camps se disputaient la légitimité et la ligue professionnelle avait demandé à la Linguère de recevoir l’équipe dirigée par Pape Sidy Lô.

    Ce qui a été fait, note dans un entretien avec l’APS, le dirigeant saint-louisien qui s’étonne que par la suite  »ces joueurs qui avaient disputé le match contre la Linguère n’aient plus rejoué dans le championnat, leurs licences étant déclarées invalides ». Selon lui,  »leur match contre Pikine a été déprogrammé pour risque de trouble à l’ordre public et ils ont perdu par forfait leur match contre Mbour Petite Cote (MPC) ».

    Finalement, la Ligue pro a arbitré le litige entre dirigeants thiessois en faveur du camp de Benouchi qui payait les salaires et avait bénéficié du soutien de l’essentiel des joueurs de ce club, indique-t-il signalant que plus jamais ces joueurs qui s’étaient déplacés à Saint-Louis n’ont rejoué.

     »La Linguère a écrit à la Ligue professionnelle et attend sa réponse dans l’espoir de rejouer ce match qui ne doit pas être comptabilisé comme un match régulier du championnat », estime le responsable des opérations du club nordiste.

    Elle peut si elle n’est pas satisfaite de la réponse de la ligue professionnelle saisir la chambre des litiges de la Fédération sénégalaise de football (FSF) ou le Tribunal arbitral des sports (TAS) pour avoir gain de cause.

    Avec 27 points au compteur, la Linguère occupe la 13-éme place du championnat synonyme de relégation. Cependant elle peut espérer engranger plus de points si ce différent soulevé tourne à son avantage et sécuriser sa place en Ligue 1.

    AMD/ADC

  • SENEGAL-AFRIQUE-BASKET / Afrobasket féminin : un Mali sort vainqueur devant l’Ouganda (80-66)

    SENEGAL-AFRIQUE-BASKET / Afrobasket féminin : un Mali sort vainqueur devant l’Ouganda (80-66)

    Kigali, 28 juillet (APS) – Le Mali s’est imposé, 80-66, devant l’Ouganda, lors de la première journée de l’Afrobasket féminin 2023 qui se déroule à Kigali, la capitale rwandaise du 28 juillet au 5 août, a constaté l’envoyée spéciale de l’APS.

    Les deux équipes ont livré une première mi-temps intense et très serrée. Le Mali favori avant le coup d’envoi du match s’est fait secouer par une belle équipe ougandaise sous la houlette de Jannon Jaye Otto, l’américaine naturalisée ougandaise, en février 2023.

    Les Gazelles de l’Ouganda ont donné du fil à retordre aux finalistes de la dernière édition en 2021 au Cameroun (remportée par le Nigéria).

    Avec une belle présence en début de match, les Ougandaises ont répondu coup sur coup aux assauts incessants des Maliennes. De temps à autres, elles parvenaient même à mener au score.

    Les Maliennes ont dû sortir le grand jeu pour l’emporter de façon étriquée à la mi-temps (37-34).

    Mais à la reprise l’équipe malienne a présenté un tout nouveau visage sur le parquet du Kigali Arena. Sans doute, elles se sont faites remonter les bretelles par le staf technique au sein duquel se trouve Hamchétou Maïga-Ba, icône du basketball malien, notamment championne d’Afrique en 2007 à Dakar avec le Mali.

    Complètement transfigurées, les joueuses du Mali semblent avoir retrouvé adresse, efficacité et technicité qui font leur style. L’Ouganda n’y voyait que du feu.

    A la fin du troisième quart temps, les Ougandaises étaient menées par neuf points d’écart (58-49).

    Plus rien n’arrête la machine malienne. Avec une confiance retrouvée, les Maliennes ont logiquement dominé avec 26 points d’écart.

    Le Sénégal partage la même poule C, avec l’Ouganda et le Mali.Les Lionnes, onze fois championnes d’Afrique, vont entrer en lice, samedi, contre l’Ouganda. Le lendemain dimanche, elles affronteront, le Mali qui a fait forte impression.

    Le Nigeria, champion d’Afrique en titre s’est imposé, 69-35, un peu plus tôt contre la République Démocratique du Congo.

    Le pays hôte, le Rwanda fera son entrée dans la compétition à 16h GMT face à la Côte d’Ivoire .

    Le Cameroun se mesurera au Mozambique à 19h GMT.

    SK/MTN

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • SENEGAL-RUSSIE-MEDIAS-COOPERATION / Signature de conventions de partenariat entre l’APS et deux agences de presse russes

    SENEGAL-RUSSIE-MEDIAS-COOPERATION / Signature de conventions de partenariat entre l’APS et deux agences de presse russes

    De l’envoyé spécial de l’APS, Serigne Mbaye Dramé

    Saint-Pétersbourg, 28 juil (APS) – Le directeur général de l’Agence de presse sénégalaise (APS), Thierno Ahmadou Sy, a signé, vendredi, deux conventions de partenariat avec l’Agence Sputnik et l’agence TASS, deux agences publiques d’information de la Russie, a constaté l’envoyé spécial de l’APS.

    La signature des conventions a eu lieu en marge du deuxième sommet Russe-Afrique, qui se déroule à Saint-Pétersbourg les 27 et 28 juillet.

    Le premier accord de coopération a été signé avec l’Agence de presse et la radio Sputnik, représentées par leur directeur de la coopération internationale, Vasily Pushkov. Il porte notamment sur les possibilités de  »faciliter des échanges de productions journalistiques à travers des informations crédibles et vérifiées entre les deux agences publiques d’information », renseigne M. Pushkov.

    Le directeur de l’Agence de presse sénégalaise s’est félicité de cette signature, qui traduit selon lui,  »une volonté d’ouverture, à l’image de l’Etat du Sénégal ».

    « Nous sommes une agence de presse qui existe depuis 1959. Et, depuis cette date, aucun de nos journalistes n’a été appelé à la barre suite à des manquements professionnels », a fait valoir Thierno Ahmadou Sy.

    Il s’exprimait suite à une  interpellation du directeur de la coopération de Sputnik portant sur « la vérification des faits » (fact-cheking), notant que sa structure « sanctionne, par moments, des agents qui prendraient certaines libertés avec les faits ».

    L’autre convention de partenariat a été signée avec l’agence de presse TASS, représentée par son directeur général, Andrei Kondrachov.

    « TASS est la principale agence de presse d’État de Russie qui a célébré en septembre 2022 son 118e anniversaire », peut-on lire sur son site internet.

    SMD/MTN

  • SENEGAL-SOCIETE-ACCIDENT / Accidents de la route : Antoine Félix Diome salue « le travail remarquable des FDS »

    SENEGAL-SOCIETE-ACCIDENT / Accidents de la route : Antoine Félix Diome salue « le travail remarquable des FDS »

    Louga, 27 juil (APS) – Le ministre de l’Intérieur,  Antoine Félix Abdoulaye Diome, a salué, mercredi, le travail remarquable des forces de défense et sécurité, notamment la gendarmerie, dans l’application des 23 mesures prises lors d’un conseil interministériel tenu en janvier dernier pour lutter contre les accidents de la circulations.

    « Vingt-trois mesures avaient été arrêtées, et celles-ci sont en train d’être appliquées, et c’est le lieu de saluer le travail remarquable effectué par les forces de défense et de sécurité », a-t-il déclaré.

    Ces 23 mesures censées améliorer la sécurité routière avaient été arrêtées lors d’un conseil interministériel organisé en urgence après l’accident tragique de Sikilo, dans la région de Kaffrine, où une quarantaine de personnes avaient péri dans la collusion entre deux bus.

    Mercredi, le ministre de l’Intérieur s’est rendu au village de Diélerlou, dans la commune de Nguidilé (nord), où un accident de la circulation a fait  76 victimes, dont 24 morts et 52 blessés. Lors de cette visite, il a décerné une « mention spéciale à la gendarmerie nationale qui fait un travail remarquable sur place ».

    Il était accompagné de ses collègues du gouvernement Mansour Faye (Transports), Samba Ndiobène Ka (Solidarité), Moustapha Diop (Industrie) et du gouverneur de la région de Louga, El Hadj Bouya Amar.

    « Déjà, entre hier et mardi dernier, la gendarmerie a procédé au contrôle de 791 véhicules avec au final 16 immobilisations pour différentes infractions au code de la route », a-t-il informé.

    Il précise que « parmi ces infractions, on note celles qui sont relatives au défaut de lumière,  au surnombre de passagers et à d’autres types d’infractions ». « C’est dire que c’est un travail continu que nous devons poursuivre, mais aussi en rapport avec les acteurs du secteur du transport », a-t-il souligné.

    DS/ASG

  • SENEGAL-SOCIETE / Saint-Louis : les sapeurs-pompiers maîtrisent un début d’incendie à la Bicis

    SENEGAL-SOCIETE / Saint-Louis : les sapeurs-pompiers maîtrisent un début d’incendie à la Bicis

    Saint-Louis, 19 juil (APS) – Les sapeurs-pompiers ont maîtrisé ce mercredi un début d’incendie au siège de la Banque internationale pour le commerce et l’industrie du Sénégal (BICIS), sis au quartier Nord de Saint-Louis, a constaté l’APS.

    Aucun dégât matériel n’a été enregistré malgré l’odeur suffocante et la fumée qui se dégageait du bâtiment de l’institution bancaire.

    L’incident serait dû à un problème de circuit, ont confié à l’APS les sapeurs pompiers selon qui  »avec cette chaleur, les risques d’incendie se multiplient en cette période ».

    La Société nationale d’électricité (SENELEC) est sur place pour remettre le système électrique en marche.

    Le siège de la BOCIS est contigu au bureau régional de l’Agence de presse sénégalaise, APS.

    AMD/ASG

     

  • AFRIQUE-SOCIETE-HYDRAULIQUE / L’hydrodiplomatie recours pour une gestion durable des eaux transfrontalières  (experts)

    AFRIQUE-SOCIETE-HYDRAULIQUE / L’hydrodiplomatie recours pour une gestion durable des eaux transfrontalières  (experts)

    Dakar, 15 juil (APS) – Des ingénieurs, chercheurs et spécialistes de la question de l’eau ont préconisé, samedi, à Dakar, le recours à  »l’hydrodiplomatie » pour promouvoir une gestion durable et apaisée des eaux transfrontalières en Afrique.

    Intervenant dans le cadre d’une table ronde virtuelle organisée par le site d’information hydrodiplomacy.com, en partenariat avec le think tank IPAR, les panélistes sont revenus sur les enjeux et défis de la gestion des eaux transfrontalières en Afrique.

    Au cours de cette table ronde axée sur le thème central : « Les enjeux et défis de la gouvernance des ressources de l’eau en Afrique et le rôle de la diplomatie », les intervenants ont insisté sur les vertus de la diplomatie de l’eau, qu’ils jugent porteuse de paix et de stabilité sociale en Afrique.

    Selon Niokhor Ndour, responsable à la direction de la gestion et de la planification des ressources en eau, la diplomatie de l’eau ou hydrodiplomatie est une approche visant à promouvoir la coopération, à prévenir et à résoudre les conflits liés à l’eau entre pays ou les régions du monde.

    « Elle implique des outils de négociation, des accords et des mesures de coopération entre les nations concernées en vue de résoudre les conflits liés à l’eau », a-t-il ajouté, donnant en exemple l’Organisation pour la mise en valeur du fleuve Sénégal (OMVS) et l’Organisation pour la mise en valeur du fleuve Gambie (OMVG).

    Ces deux organismes émanent d’une grande diplomatie de l’eau visant à prévenir les conflits entre le Sénégal et ses voisins avec lesquels le pays partage ces bassins fluviaux, mais aussi à promouvoir le développement.

    Dans un contexte de raréfaction de l’eau, les nouvelles formes de diplomatie de l’eau peuvent devenir « une approche prometteuse » dans la prise en charge des défis liés à l’eau, à la coopération internationale et à la gestion durable de l’eau, estime Niokhor Diouf.

    L’expert en eau et environnement Madiodio Niasse a appelé, pour sa part, les pays africains à ne pas suivre les mêmes itinéraires de développement des ressources en eau que les pays des autres continents.

    « L’Afrique, a-t-il expliqué, a besoin d’une approche innovante, plus stratégique, car elle est le continent le plus aride du monde en ayant que 9% des ressources en eau renouvelables », contre selon lui 20% pour l’Asie, 45 pour l’Amérique et 16% pour l’Europe.

    La nouvelle approche qu’il appelle de ses vœux « doit être basée sur une coopération interétatique pour régler cette contrainte en eau du continent », d’autant que « la pression exercée sur les ressources en eau crée des risques de conflits, de même que la répartition déséquilibrée des eaux de surfaces et souterraines ».

    Il a donné en exemple le cas du Nil et du Niger, les deux fleuves les plus longs d’Afrique, soulignant qu’ »on est au bord d’une guerre entre l’Égypte et l’Éthiopie, depuis la construction du barrage de la Renaissance en Éthiopie ». Il a d’autre part signalé « des risques de conflits du côté du bassin du fleuve Niger ».

    « Donc, il faut adopter le concept de partage des bénéfices tirés de l’exploitation des ressources en eau », a-t-il préconisé, relevant que  »l’hydrodiplomatie », dans sa mise en œuvre, doit essayer de répondre aux pressions et aux risques de conflits.

    L’hydrodiplomatie « se doit d’être une diplomatie de prévention, d’anticipation et de résolution des conflits, mais aussi de développement des ressources en eau disponibles à travers la réalisation d’ouvrages communs », a ajouté M. Niasse

    Olivier Cogels, professeur émérite à l’Université catholique de Louvain, en Belgique, et expert en diplomatie de l’eau, a suggéré l’adoption d’une « doctrine des investissements coordonnés » en matière de gouvernance des eaux transfrontalières en Afrique.

    Il soutient que la « doctrine des investissements coordonnés mérite d’être citée comme une doctrine importante de la diplomatie et de la politique de l’eau pour la promotion d’une coopération transfrontalière de prévention des conflits transfrontaliers liés à l’eau ».

    Il a appelé les pays africains partageant de grands bassins fluviaux à adopter cette doctrine pour prévenir les conflits.  « Il faut veiller seulement à ce que tous les investissements susceptibles d’avoir des impacts transfrontaliers soient coordonnés du stade de la planification à l’opérationnalité à l’échelle des pays en partage de ces bassins », a-t-il précisé.

    Selon lui, le concept d’investissement doit être au cœur de la diplomatie de l’eau. « Il est crucial parce que dans bien des cas, s’il n’y a pas d’investissement, il n’y aura pas de conflit. Donc, c’est souvent l’investissement des pays sur les bassins fluviaux qui est la source des conflits », a-t-il expliqué.

    « Ceci indique à quel point l’investissement est au cœur du débat », a insisté olivier Cogels, selon qui en Afrique, la demande en eau va exploser dans les prochaines années.

    « Donc, a-t-il relevé, on peut s’attendre à ce que les États fassent des investissements pour résorber le gap en eau, pour répondre aux besoins des populations et par conséquence s’exposent à des conflits, voire des guerres ».

    Cette table ronde interactive était modérée par Ndèye Magatte Kébé, journaliste et fondatrice de Hydrodiplomacy.com, une plateforme spécialisée dans l’information sur la gestion des eaux transfrontalières en Afrique.

    Dans un contexte de raréfaction des ressources en eau, d’augmentation des besoins et usages de l’eau et d’asymétrie d’intérêts entre les États, les bassins d’eau transfrontaliers cristallisent les tensions en Afrique.

    AB/BK

     

  • SENEGAL-ECONOMIE-STRATEGIE / Vers la certification  des huîtres de la Casamance

    SENEGAL-ECONOMIE-STRATEGIE / Vers la certification des huîtres de la Casamance

    Ziguinchor, 15 juil (APS) – Le projet MIPRO, Marché inclusif des petits producteurs (trices) des zones de mangroves en Casamance et dans le Sine-Saloum, a signé samedi une convention de partenariat avec l’université Assane Seck de Ziguinchor (UASZ) et d’autres « acteurs de facilitation », en vue d’arriver à certifier et développer les huîtres en Casamance, a constaté l’APS.

    « Nous avons signé un partenariat avec l’université Assane Seck de Ziguinchor avec lequel on doit travailler dans le volet recherche. Nous voulons aller dans la certification des huîtres dans la zone de la Casamance », a indiqué le chef du projet MIPRO, Louis Mendy, au terme d’un atelier de signature de partenariat avec les acteurs de facilitation, dont l’UASZ.

    « Nous voulons travailler avec l’université Assane Seck de Ziguinchor pour connaître un peu la qualité du produit. Cela nous permettra de voir ce qu’il faudrait faire et ce que les études ont révélé, ainsi que les démarches à entreprendre pour pouvoir aller jusqu’à la certification de ce produit », a ajouté M. Mendy.

    Selon lui, « le projet MIPRO veut accompagner les bénéficiaires directs de la filière pour leur permettre de développer cette économie et pouvoir se ressentir dans l’écosystème ».

    « Pour le développement de certaines filières, nous avons jugé nécessaire de collaborer avec des structures étatiques et privés afin de pouvoir mettre en place des actions qui permettraient d’avoir un impact par rapport au développement de certains produits », a fait savoir Louis Mendy.

     

    Au cours de cet atelier, les responsables du projet MIPRO ont également signé une convention avec une structure opérant à Oussouye et qui travaille à l’organisation des structures faîtières.

    « Nous avons l’appui de cette structure dans le cadre des huîtres. Nous voulons développer le produit dans la zone casamançaise », a dit le chef du projet MIPRO, lancé à Djirnda, dans la région de Fatick (ouest), en 2022.

    Il est financé par une ONG belge, en partenariat avec l’État du Sénégal.

    Le projet veut préserver la mangrove, aider les populations à reboiser pour que l’écosystème soit valorisé afin qu’il y ait assez de produits dans la zone et pour booster l’économie de ces populations, a expliqué Louis Mendy.

    MNF/BK

     

  • SENEGAL-AFRIQUE-DIPLOMATIE / Macky Sall en visite au Kenya, au Rwanda et en Ouganda

    SENEGAL-AFRIQUE-DIPLOMATIE / Macky Sall en visite au Kenya, au Rwanda et en Ouganda

    Dakar, 15 juil (APS) – Le président de la République, Macky Sall, a quitté Dakar ce samedi pour Nairobi, la capitale du Kenya, où il va prendre part, dimanche, à la 5e réunion de coordination entre l’Union africaine et les communautés économiques régionales, a-t-on appris de source officielle sénégalaise.

    Selon un communiqué des services de la présidence de la République, le chef de l’État se rendra ensuite au Rwanda. Dans ce pays, participera à la conférence internationale de Kigali sur les femmes, prévue lundi, avant d’entamer une visite officielle en Ouganda, le mardi 18 juillet.

    Le retour du président de la République est prévu le lendemain, mercredi, signale la même source.

     

    BK